dimanche 17 février 2019

Les bénéfices de la pratique des arts martiaux

Apprendre à se défendre, self-défense


Les arts martiaux nous apprennent à acquérir les bons réflexes pour nous défendre en cas d'agression. Le fait de travailler à deux et de faire face à des milliers de coups lors de l'entraîner, peut permettre de garder son calme donc son efficacité dans une agression sur la voie publique.
Améliorer l'équilibre corporel et la perception du corps dans l’espace : les arts martiaux font appel à la coordination et à l'enchaînement de différents mouvements, ce qui améliore la posture et la stabilité corporelle.

Améliorer sa condition physique et sa santé en général

Les arts martiaux font travailler la condition physique, la coordination, le cardio, la musculation naturelle (poids de corps uniquement), la souplesse et permettent donc de conserver voir d’améliorer sa santé globalement : abaissement de la fréquence cardiaque et réduction des risques cardio-vasculaires (insuffisance cardiaque, hypertension), amélioration de la tonicité et de la force musculaire, augmentation de la souplesse, amélioration de la mobilité et des réflexes, réduction du temps de réaction etc. Selon de le temps de cours (cours hebdo de 1h ou stage intensif de 8h) l’élève dépense de 300 à 2000 calories, ce qui fait des arts martiaux une pratique saine.


Renforcer sa maîtrise de soi

Au-delà des bienfaits physiques, les arts martiaux apprennent la maîtrise dans les pratiques à deux et amène logiquement à terme au contrôle de ses émotions.


Canaliser son énergie


Pratiquer les arts martiaux pour les enfants et les ados favorise une canalisation de l'énergie et une découverte de ses capacités internes. Plus tard les notions apprises au cours du temps de pratique sur l’énergie interne, permettent de délaisser la force brute au profil d’une meilleure gestion de l’énergie commandée par une tête bien faite et un cœur serein. L’hyperactivité chez l’enfant peut trouver une solution dans la pratique des arts martiaux.


Pratiquer art martial permet d’entamer un véritable travail de fond


Via les enseignements périphériques (méditation, gymnastique énergétique, étude de la philosophie bouddhiste et shintoïste, ascèses, etc.) au travail strictement technique du tatami.


Dépasser ses limites personnelles


Pratiquer assidûment met le mental à rude épreuve. Le fait de repousser ses limites, de ne pas renoncer, mais au contraire d’avancer vers l’adversaire… permet de mieux appréhender par la suite les adversités rencontrées dans la vie quotidienne.


Bénéfices pour la tête et le cœur


Combattre la procrastination*


Le fait d’aller régulièrement aux entraînement, d’avoir à affronter ses partenaires de cours sans reculer, de travailler des heures durant des techniques des milliers de fois sans baisser les bras conduit tout naturellement à mettre en place une gestion globale efficace de ses interactions avec le monde extérieur.


Renforcement de la confiance en soi et réduction du stress


Le stress est une catastrophe d’un point de vue de la santé car il induit une aggravation de certaines maladies (l’hypertension ou les maladies cardiovasculaires par exemple) et favorise l’apparition de nouvelles comme la dépression ou le diabète. Pour lutter contre le stress, le cerveau libère une hormone appelé endorphine et la pratique régulière des arts martiaux permet d’en profiter. La pratique intensive permet de sécréter un maximum d’endorphine et ainsi d’agir contre le stress à long terme.


Amélioration la confiance en soi


La pratique réduisant le stress, elle permettra d’améliorer la confiance en soi, renforcée par l’apprentissage de toutes les techniques d’un art martial. Consacrer des années à acquérir un programme technique complet, ce qui va demander beaucoup de patience mais qui procurera en contrepartie un profond sentiment d’accomplissement personnel. Le fait de ne plus avoir peur des agressions tant physiques que verbales, permet au pratiquant d’être plus serein dans ses interactions avec les autres.


Meilleure gestion de sa colère


En donnant toute l’énergie qu’il a au fond de ses tripes le pratiquant débutant constate vite qu’il ressort plus serein du dojo, même s’il y est rentré énerver. En travaillant des techniques martiales, le pratiquant prend vite conscience qu’il ne peut « déverser sa colère » sur ses partenaires d'entraînement qui ne sont pas responsables de sa colère. Le pratiquant découvre naturellement d’autres voies d’expression de sa frustration et de sa colère…. Comme s’exprimer par les mots ou l’écrit…


L’introduction aux philosophies orientales


Qui ont au moins l’avantage d’apporter aux pratiquants une toute autre ouverture, lecture de la Vie ; différente et leur apportant des réponses et solutions alternatives à celles que l’occident et le monde moderne leur donnent.
*définition : La procrastination est une tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions. Le « retardataire chronique », appelé procrastinateur, n’arrive pas à se « mettre au travail », surtout lorsque cela ne lui procure pas de satisfaction immédiate. Source : Wikipédia



Article: "Les bénéfices de la pratique des arts martiaux". Copyright Ninpo Nin-Jutsu 1991-2019



Art martial interne (Koryu)

"La Force au-delà de la violence"


Le Ninpo Nin-Jutsu est un art martial interne basé sur le Nin-Jutsu, l’art des Ninjas ! Le Ninpo Nin-Jutsu utilise les techniques de pieds-poings, les clés articulaires, les projections et le travail du sabre et du bâton. Son origine est japonaise et antérieure au judo, karaté et aïkido, et autres arts martiaux datant du début du 20ème siècle.

Le Ninpo Nin-Jutsu, signifiant « Voie de l’invisibilité » est une méthode qui développe la capacité d’adaptation de nos pratiquants afin que ceux-ci puissent faire face non seulement aux attaques physiques dans n’importe quelle situation, mais qu’ils acquièrent la capacité de maîtriser leurs émotions et leur mental par des pratiques visant à stimuler leurs capacités cognitives au maximum.
Le Ninpo Nin-Jutsu développe le renforcement des filières énergétiques, la coordination, la souplesse, l’équilibre, la perception de l’espace, du temps et des rythmes, la mémoire intellectuelle, le respect des règles et la capacité à maintenir l’effort dans le temps.

Ninpo Nin-Jutsu

plus qu'un art martial-un art de vie

Notre enseignement


Le Ninpo Nin-Jutsu est enseigné depuis 1991 à des enfants, des femmes et des hommes dans un dojo où règne le respect de l’autre. Bien que le travail soit physiquement contraignant et exigeant, nous nous mettons un point d’honneur à rester dans un cadre pédagogique d’où la violence gratuite est exclue. Chacun travaille afin d’atteindre les buts qu’il a lui-même déterminé.

Nous vous offrons au long de l'année différentes possibilités de pratiquer:

En Ninpo Nin-Jutsu, le fort est faible et le faible est fort. C’est-à-dire que, seul le pratiquant qui sera assez humble pour admettre ses défauts pourra les améliorer et ainsi, s’il le désire, parvenir jusqu’au sommet de notre formation, le 5ème Dan.

Une de nos spécificités est d’avoir conservé au programme d’enseignement les techniques internes dites « secrètes ou ésotériques » qui étaient jusqu’à peu réservées aux seuls hauts gradés triés sur le volet. Nous tenons à les maintenir car nous estimons que dépourvu de l’aspect spirituel, un art martial devient juste une arme de guerre dangereuse et semeuse à terme de désolation.

Ninpo Nin-Jutsu: Programme Technique


Le Ninpo Nin-Jutsu est un martial complet qui permet de développer ses capacités en termes de condition physique, de maîtrise des émotions et bien sûr de self-défense.
Notre programme technique comprend :
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Le Mukyu/roulades, chutes frappées et acrobaties


Ou l’art de se déplacer, de rouler, de sauter et…. de se recevoir entre Terre et Ciel. Se déplacer au sol en roulant permet au pratiquant expérimenté de se déplacer au sol sans se blesser et d’effectuer des acrobaties qui permettent entre autres de sortir de clés articulaires et de placer des attaques surprenantes. Le Mukyu développe et entretient une excellente souplesse et une tonicité musculaire.

Le Mukyu/roulades, chutes frappées et acrobaties. Copyright Ninpo Nin-Jutsu 1991-2019

Les coups de poings-pied


Le Ninpo Nin-Jutsu a ceci de particulier que le pratiquant utilise non seulement la force de son bras, respectivement de sa jambe, pour frapper mais y additionne tout le poids de son corps. Cela permet aux pratiquants des deux sexes d’être beaucoup plus efficace et de pouvoir avoir de l’efficacité avec des personnes bien plus lourde. Notre art martial conserve les méthodes de frappes antiques permettant de frapper des zones très innervés (ganglions nerveux) et là encore d’être plus efficace sur le tatami.

Les coups de poings-pied. Copyright Ninpo Nin-Jutsu 1991-2019

Les clés articulaires


L’objectif d’une clé articulaire est de mobiliser une articulation précise puis de générer un mouvement au-delà de son amplitude normale, afin de créer une douleur permettant d’immobiliser l’adversaire.
Les clés articulaires du Ninpo Nin-Jutsu se travaillent sur toutes les articulations du corps : poignets, coudes, épaules, chevilles, genoux, hanches,…

Les clés articulaires. Copyright Ninpo Nin-Jutsu 1991-2019

Travail des armes


Le Ninpo Nin-Jutsu inclut dans son programme technique le travail des armes traditionnelles (sabre, bâton court et long entre autres).
Après avoir appris le Taï-Jutsu (toutes les techniques à mains nues), le pratiquant peut commencer à apprendre la maîtrise des armes, prolongement de ses bras.

Travail des armes. Copyright Ninpo Nin-Jutsu 1991-2019

La Non-Résistance ou le Chêne et le Roseau


Le Ninpo Nin-Jutsu a ceci de particulier qu’il n’est pas un art martial offensif. Notre art martial amène le pratiquant à ne pas attaquer et à accepter l’attaque de l’Autre. Cela peut paraître paradoxal voir même une attitude de soumission ; cependant il n’en est rien. C’est le principe de la Non-Résistance qui valorise symboliquement l’attitude du petit roseau qui ploie durant la tempête pour mieux se redresser une fois que celle-ci se termine. Le chêne parait fort, résiste tant qu’il peut aux assauts du vent, mais finit par s’écrouler, déraciné.
Le Ninpo Nin-Jutsu enseigne la Voie de la Souplesse (principe repris au début du 20ème siècle pour le Judo), qui consiste à s’adapter comme l’eau s’adapte à son contenant sans pour autant changer.
Cela permet à tous de pratiquer même et surtout ceux qui n’ont pas un physique de gladiateur. Au contraire, l’intelligence prime sur la force dans notre pratique !

L’éthique dans la pratique


Depuis 1991, nous nous efforçons d’atteindre 2 objectifs:
  • Insuffler dans toute la pratique sur tatami le respect de l’Autre. Dans nos cours nous prohibons toute violence gratuite. Au contraire, nous nous mettons un point d’honneur à travailler intensivement physiquement chaque technique seul ou à deux, mais dans tous les cas la supervisions de nos instructeurs est un garde-fou à tout débordement. Bien que dans d’autres sports de combat il soit à la mode de travailler à fond voir brutalement les techniques, nous, instructeurs de Ninpo Nin-Jutsu, nous gardons notre cap, celui du travail traditionnel dans le cadre duquel le travail à deux se fait avec un partenaire respecté et non un ennemi.
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  • Transmettre tout l’aspect de la philosophie traditionnelle du Ninpo Nin-Jutsu vieille de mille ans et riche de mille et un trésors pour celles et ceux qui, après la ceinture noire, choisissent de travailler le Niveau Supérieur, celui des 5 Dan.

Foire aux questions (FAQ)
 

Que signifie Nin-Jutsu ?


« Nin » signifie invisibilité, « Jutsu » signifie technique, Nin-Jutsu signifie donc « technique d’invisibilité ».


Le Nin-Jutsu c’est quoi ?


Le Nin-Jutsu est un art martial japonais pratiqué à l’époque pour les fameux Ninjas, guerriers-espions du Japon féodal, qui furent très actifs entre le 12ème et le 14ème siècle. !

Le Nin-Jutsu est l’opposition symétrique aux arts martiaux des samouraïs tant d’un point de vue technique, que tactique que philosophique:
  • Autant les samouraïs étaient régis par un dogme rigide, le Bushido (code de l’honneur des samouraïs) autant les Ninjas s’affranchirent de cette rigidité technique en cherchant la stricte efficacité. Les Ninjas furent les précurseurs du para-commando silencieux, efficace et travaillant en petits groupes d’hommes hyper-spécialisés
  • Alors que les samouraïs étaient imbus de leur apparence et cultivaient celle-ci jusqu’à l’ériger au niveau d’art ; les Ninjas se jouaient des apparences, infiltrant les camps ennemis sous des habits de marchants, de commerçants, de moines. Les femmes Ninjas n’étaient pas en reste et couramment utiliser pour des missions d’infiltration entre autres. Les Ninjas inventèrent des techniques totalement innovatrice afin de grimper les murs des fortifications, de disparaître au travers de fumigènes ou de revêtirent des masques effrayant afin de colporter sciemment une peur auprès de témoins de leurs actes.
  • Pendant que les samouraïs d’un clan s’entraînaient dans leur Ryu, leur école spécifiques gardant jalousement le secret de ses techniques martiales ; les Ninjas en infériorité de nombres durent travailler des techniques novatrice utilisant la Non-Résistance (à l’image du roseau, le Ninja, ployant sous la tempête alors que le chêne, le samouraï, résiste de toutes ses forces jusqu’au déracinement), la furtivité et l’art de la guérilla. Alors que le Daïto, le sabre du samouraï est incurvé et possède qu’une lame, le Ninja-To est droit, souple et possède 2 lames.

Qui furent les Ninjas ?(1)


L'histoire officielle des Ninjas est connue : ils habitaient généralement Koga et Iga, provinces voisines situées à côté de Kyoto. Ces deux provinces avaient la grande particularité d'être indépendantes, sans daimyo. Une population très hétéroclite, en marge de la société féodale japonaise, peuplait cette région :
  • Des pirates de la région de Kumano à qui ils doivent leurs techniques de grappin.
  • Des Yamabushis, ascètes vivant dans les montagnes, pratiquant le Shugendo (pratiques d'ascèses).
  • Des moines bouddhistes dont certains pratiquaient le Shingon, une des écoles du bouddhisme ésotérique japonais.
  • Des Hinin (sorte d'intouchables japonais), personnes de basse condition sociale utilisées pour des tâches jugées impures, notamment en relation avec le sang et le cuir.
  • Des intellectuels et des militaires chinois.
  •  Etc.

De leur position sociale faible face aux puissants seigneurs féodaux japonais, ils tirèrent un art martial totalement différent de ceux que pratiquaient les clans des seigneurs. Leur technique intégra le fait que le faible ne peut s’attaquer de front au fort : la souplesse et le travail bas devinrent leur apanage.
Autant les Samouraïs étaient les gardiens des valeurs du Japon féodal, autant les Ninjas s’adaptèrent en devenant leurs ombres. Les Ninjas avaient une grande liberté de mouvement que n'avaient pas les Bushis (ou samouraïs) soumis au Bushido (code de l'honneur du Bushi). Ils durent donc développer des techniques de guerre peu orthodoxes : espionnage, guérilla, embuscades, assassinats. Les Ninjas n'étaient pas subordonnés aux grandes familles, celles-ci les utilisaient pour leurs basses besognes (pillages, assassinats). Une de leur grande spécialité était de s'introduire de nuit dans les châteaux et camps militaires et d'allumer un incendie, afin d’en faciliter l'assaut par des troupes classiques. Ils adoptaient généralement la même tenue que leurs adversaires (et donc pas toujours le noir !). Ils étaient passés maîtres dans l’art de jouer des rôles qui leur permettaient d’infiltrer le clan ennemi à l’image des agents secrets modernes travaillant « sous couverture ». La nature de leur mission et le contexte historique font qu’ils avaient très peu de chance de survivre à ce genre de mission. Pour autant, il serait erroné de les comparer à des terroristes modernes, plutôt à des agents secrets lâchés par leurs commanditaires.
Ils étaient aux Bushis japonais ce que les troupes d’élite sont à nos armées : entourés d’une réputation sulfureuse faite de légendes plus ou moins vraies, ils fascinent ou servent de boucs émissaires, mais ne laissent jamais indifférents. Les Ninjas sont bien plus que des assassins de l’ombre, ils faisaient partie d’une culture en marge de la société féodale, mais hautement intéressante de par les intégrations des différentes influences qu’elle subit.
Leur efficacité causa aussi leur perte. En 1579, les troupes de Nobunaga Oda soumirent par la force les provinces d'Iga et de Koga. Les familles de Ninjas furent, pour la plupart, massacrées.



 

Qu’est le Ninpo Nin-Jutsu(1)


La méthode « Ninpo Nin-Jutsu » est une méthode de formation sur trois modules que j’ai mise au point après 35 ans de pratique de quelques arts martiaux japonais et de sport de combat.
En Nin-Jutsu, j’ai reçu un entraînement technique en béton ainsi que des bases solides du Ninpo, c’est-à-dire la contrepartie spirituelle de l’entraînement du corps. Cependant, j’en voulais plus, mieux et plus haut. J’ai voyagé afin d’aller à la rencontre tout autant d’entraîneurs connus pour avoir formé des champions en sport de combat et des maîtres renommés dans les arts martiaux traditionnels que de gens très spirituels comme Joseph Chasing Horse, un voyant-guérisseur sioux de Pine Ridge (Dakota du Sud aux États-Unis) ou Jacques Pialoux, un grand maître dans la médecine traditionnelle chinoise.
Le Ninpo Nin-Jutsu est le fruit de cette recherche personnelle. En proposant ma propre méthode je ne prétends pas détenir la vérité, mais plutôt d’en apporter ma version. Fatigué par les guerres intestines aux arts martiaux et leurs associations, je me suis mis ainsi à l’écart pour me consacrer à l’essentiel : enseigner sur le tatami.
En plus de la technique martiale stricte, j’essaie d’apporter à tous mes élèves depuis 1991  des outils qui leur permettent d’effectuer un travail de remise en question intérieure sur les grandes questions qu’amène la pratique des arts martiaux : que faire de ma violence ? Comment vais-je utiliser ma technique martiale une fois formé ?
De plus, j’ai intégré à mon programme d’enseignement l’enseignement du Taï Chi, de la méditation, de l’énergétique (enseignement de base de la médecine traditionnelle japonaise au travers du Shiatsu Holistique), de Kuatsus traditionnels (techniques de réanimation traditionnelles japonaises), Okuden (techniques « secrètes » visant à travaillant conjointement avec les deux hémisphères cérébraux entre autres) et base du Mikkyo ou Bouddhisme ésotérique japonais.
La synthèse de tous ces outils additionnée de mon expérience me permet d’apporter ce que je désirais aux élèves : une méthode qui leur permet de grandir bien au-delà de leurs limites et de leur apporter la foi que rien n’est impossible à celui qui croit.
•             Dépenser son énergie
•             Acquérir une efficacité tant physique que mentale
•             Retrouver son calme et sa sérénité
•             Apprendre l'autodéfense dans le but de protéger son intégrité de manière globale

… sont travaillés dans le but d’un…

Bien-Être Global

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