Introduction aux sept corps subtils
L’Homme Septénaire
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aspects de l’être humain
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Deux
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Monde de l’Esprit : Trois corps spirituels
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Divin
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Synthétique
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Coronal Épiphyse
(pinéale)
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Spirituel (Vital)
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Intuitif
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Frontal
Hypophyse
(pituitaire)
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Causal (Humain)
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Altruiste
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Cardiaque
Thymus
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L’Homme-Matériel
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Moi égoïste
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Monde de la Matière : Quatre corps inférieurs
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Mental (Intellectuel)
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Mental
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Laryngé
Thyroïde-Parathyroïde
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Astral
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Égotiste
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Ombilical
Pancréas
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Éthérique
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Instinctif
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Sacré
Gonades
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Dense
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Analytique
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Basal
Surrénales
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Tableau
3 de
l'auteur
- Le corps physique est le véhicule
par lequel l’Humain s’exprime dans le plan physique. C’est au travers de ses
propriétés que l’être humain s’exprime et réalise toutes ses actions dans le
plan physique. Ce corps de chair est animé par…
- Le corps éthérique (aussi appelé
« corps vital ») qui est constitué de ce que l’on appelle l’énergie
vitale. Ce dernier vitalise le corps de chair. Une énergie de bonne qualité
entretient la matière, une énergie péjorée ne peut empêcher la maladie de
s’installer et une absence d’énergie représente la mort de la matière. La qualité
de l’énergie dépend d’une part des aliments terrestres (solides, liquides,
gazeux) et d’autre part des aliments célestes (pensées et émotions). Lorsque le
corps éthérique n’arrive plus à vitaliser le corps physique, l’être humain a de
plus en plus de mal à rester conscient, il s’endort. La période de sommeil
permet au corps éthérique de régénérer le corps physique.
- Le corps astral (aussi appelé
« corps de désir ») est le siège du désir, des pulsions-répulsions.
Le désir est la force qui permet à l’être humain de bouger, créer, inventer… en
résumé l’envie de vivre[1]
provient de lui. L’attirance ou la répulsion que l’être humain éprouve à
l’encontre d’un être vivant ou d’un objet provient de ce corps. Le désir est
source de bien (plaisir) ou de mal (douleur) selon l’usage qu’en fait le corps
mental.
- Le corps mental (aussi appelé
« intellect ») est le siège du mental, de la pensée et de la
conscience égotique. Très simplement résumé, on peut dire que ce corps se
polarise en deux aspects : le premier est très rationnel et génère une
pensée visant à assouvir les besoins inférieurs et les passions (ou désirs de
nature inférieure) ; le second est intuitif et influencé par l’aspect
spirituel de l’humain. Selon que l’être humain s’identifie à sa personnalité
(son Moi) ou plutôt son esprit (son Soi Divin), il valorise plus ou moins un
des aspects de son corps mental. Ce corps occupe une place charnière entre la
personnalité de l’Humain d’une part et son Esprit d’autre part. Comme les
pensées elles-mêmes, le sujet de la pensée, l’objet physique concret est
impermanent.
- Alors que le corps mental
recueille et élabore, le corps causal (aussi appelé « Ego[2] »)
ordonne et discerne. Alors que le corps mental repose sur des images mentales
construites par les cinq sens et qu’il raisonne autour d’objets concrets en les
différenciant en comparant leur effet, le corps causal perçoit la cause
(archétype[3])
des objets et manie la pensée abstraite. À l’inverse, de l’objet concret,
l’archétype est un modèle en évolution, mais qui est permanent.
- Le corps spirituel représente le
pont entre l’Ego, siège de la conscience individuelle, et l’Âme ou Soi Divin
ayant pour véhicule le corps divin. Le corps spirituel est le siège de
l’intuition qui est une connexion directe avec l’Âme ou la compréhension des
Lois Universelles.
- Le corps divin est de pure essence
divine, il en est une émanation en tout point semblable.
Ces sept corps subtils sont interconnectés en
permanence et interagissent les uns sur les autres, que la personne en soit
mentalement consciente ou non. La perception limitée et globale de ses corps
est dépendante du niveau d’évolution de l’être humain.
L’être humain a besoin de nombreuses années
pour développer un corps adulte, plus encore pour maitriser son énergie, ses
émotions et ses pensées. Bien que ces corps existent en l’être humain, leur
développement reste au stade du germe si son travail conscient n’entre pas en
jeu. La conscience de l’Humain devient alors l’architecte de sa propre
évolution.
Le travail d’apprentissage commence d’en bas,
du plan physique, bien que l’Humain provienne d’en haut, de l’Esprit. Cela est
dû au fait de l’ « amnésie » postnatale, période durant laquelle
chaque être humain repart de zéro. La découverte des corps les plus subtils ne
se fait que par la recherche personnelle intérieure, car cette connaissance
n’est pas enseignée au cours de l’enfance dans la plupart des cas, au contraire,
par exemple des sciences exactes et des langues. Cette connaissance ne s’ouvre
qu’à celui qui, poussé par la curiosité et la soif de comprendre, ouvre la
porte qui sépare la forme du fond.
Jean-Christian
Balmat, Ninpo Nin-Jutsu
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[1] Article extrait du livre « Le Ninpo Nin-Jutsu au
21e siècle », 444 pages. Disponible sur Amazon.
[1] Cette envie de vivre est
bien entendu la notion de pulsion de vie qui permute en pulsion de mort en cas
d’événement traumatique.
[2] Dans ce contexte,
« Ego » signifie conscience individuelle et ne correspond pas
directement à l’ « ego », qui correspond au « moi je ».
[3] Un archétype (du grec arkhetupon, « modèle primitif », par
l'intermédiaire du latin archetypum) est, en littérature et en philosophie, un
modèle général représentatif d'un sujet. Employé en psychanalyse, la notion d'archétypes
recouvre une signification propre définie par Carl Gustav Jung : des préformes
vides qui organisent la vie instinctive et spirituelle, structurent les images
mentales (pensées, fantasmes, rêves…). On peut aussi définir un archétype comme
un point de vue analogique sur une réalité sensible, susceptible d'intégrer la
totalité des points de vue qu'on peut en avoir.
Du grec ancien αρχέτυπον arkhêtupon signifiant « modèle primitif »,
entré dans les langues modernes par l'intermédiaire du latin « archetypum »,
soit « grandes images », les archétypes apparaissent dans les mythes, mais
aussi dans les rêves ; ils y forment des catégories symboliques structurant les
cultures et mentalités, et orientant le sujet vers son évolution intérieure,
nommée individuation dans la psychologie de Jung. Pour ce dernier, les
archétypes sont caractérisés fondamentalement par le fait qu'ils unissent un
symbole avec une émotion, ce faisant, ils sont des « potentiels d'énergie
psychique » constitutifs de toute activité humaine et orientant la libido. Les
archétypes sont ainsi, dans l’espace mental, des dépôts permanents
d’expériences continuellement répétées au cours des générations. Note extraite
de Wikipédia
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